T'es-t-il déjà arrivé d'avoir vraiment très peur de faire quelque chose ? Tellement peur que tu avais du mal à imaginer de vraiment faire cette chose?
Qu'est-ce que ça évoque en toi si je te dis, que plus la peur est intense, plus l'envie est grande?
Voici l'hypothèse derrière : quand quelque chose ne t'intéresse pas, le fait que cette chose soit un défi ne te fait ni chaud, ni froid.
Prenons un exemple : on te parle de sauter en parachute.
A) Tu sais que c'est sûrement une chose qui peut être effrayante, mais tu n'en ressens ni l'envie, ni le besoin. Quand on t'en parle, tu restes très détendu(e), n'est-ce-pas?
B) Sauf si, au contraire, sauter en parachute, au fond, même si tu aimerais dire le contraire, cela t'attire, t'intéresse: là, quand on t'en parle, tu ressens de l'inconfort, voir su stress! Aussi, involontairement tu cherches et trouves toutes les "raisons" pour lesquelles tu ne veux ou ne peux pas le faire. Cela te parle?
Ce qui est vraiment intéressant ici, c'est de retenir que nos peurs nous donnent des informations sur ce qui nous donne envie, même quand on se ment intérieurement!
Et ce n'est pas tout!
Une autre chose intéressante, c'est que, lorsque tu décides de dépasser ta peur, tu t'offres un triple cadeau!
Ton premier cadeau, c'est celui de réaliser un rêve jusqu'à présent perçu comme inaccessible. Cela influence grandement ton épanouissement!
Ton deuxième cadeau, c'est celui de passer un moment extraordinaire (avec le double effet kiss-cool, que cela va créer un souvenir inoubliable)!! Cela te procure plaisir et bonheur!
Ton troisième cadeau, c'est que tu auras dépassé une peur de plus, un obstacle de plus: cela engendre fierté et confiance en soi!
Alors, ça ne te donne pas envie de te pencher un peu plus sur tes peurs?
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Je vais te partager un témoignage personnel.
Cette année, on m'a convaincue de me rendre pour la première fois à un festival musical de metal, qui jusqu'à il y a longtemps n'avait jamais attiré ma curiosité, puis me fesait peur. Je me suis dit, "Okay, je me lance, je ne mourrais pas bête". Je me suis donc acheté les billets, organisée pour que cela soit possible et j'y suis allée. (Pour les amateurs de metal qui me lisent, je parle du Hellfest à Clisson).
J'y étais le week-end dernier, et c'était 4 jours de our bonheur! Pourtant, on a pas eu une météo de rêve, plus de la moitié de la programmation étaient des groupes que je ne connaissais pas, et d'autres critères auraient pu venir gâcher mon plaisir, mais non. C'était simplement extraordinaire !
À ce moment là je me suis aperçue à quel point j'y étais à ma place et ma peur avait été absolument déplacée.
Pour continuer sur ce même thème de la peur...
...j'ai une deuxième anecdote à te partager.
Le premier soir de ce festival, j'ai fais la rencontre de l'amie d'enfance de mon chéri, après plus de 7 ans de vie commune, et autant de temps de jalousie enfouie et ignorée.
Non seulement j'ai su ignorer mes anciens sentiments pour me permettre une expérience neutre (donc sans a priori), mais surtout, j'ai fait une très belle rencontre, le feeling est passé instantanément !
Cette jeune femme m'a proposé de faire une expérience que je n'avais jamais vécue: me faire porter par le public depuis le fond jusqu'à la barrière de sécurité ! Cette idée m'a d'abord parue folle, puis j'ai senti le stress monter... Donc j'ai dit oui!
Je savais que ce stress m'indiquait que j'en avais profondément envie.
Ma raison me disait biensur l'inverse.
Ces 5 minutes de folie ont été les plus intenses des 4 jours de festival et certainement les plus inoubliables.
Je ne la remercierai jamais assez de m'avoir offert cette opportunité !
Et toi, quelles sont les choses un peu farfelues ou simplement bêtes que ta raison t'empêche de faire? Quelles sont tes peurs, tes coups de sueur?
Et maintenant, que veux-tu en faire?
Partage tes réponses en commentaire.
Et partage cet article autour de toi, si tu sens qu'il a du sens pour toi et pour ton entourage.
Chaleureusement,
Gwendoline
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